Dernier jour dans l’ancienne capitale du royaume de Lanna, avec une Gerbille toujours confinée au repos forcée. Il y a de nets progrès, mais il vaut mieux sacrifier quelques jours de vacances pour accélérer la guérison. La miss s’octroiera tout de même quelques sorties pour les repas, l’occasion de ramener une photo volée de ces touristes chinois qui passent leur temps collés à leur téléphone ou tablette (sans déconner, c’est assez affolant!). ...

Forcément avec une double entorse version balaise, la Gerbille gambade tout de suite moins. Repos forcé donc pour la miss et j’en profite pour me poser aussi entre deux poches de glace. Chiang Maï est fidèle à nos souvenirs : vieux centre ville qui baigne dans une agitation perpétuelle, accueil et restauration de très bonne qualité et vraiment bon marché (on dine pour environ 3 euros à emporter, et un resto sympa coute dans les 10/12 euros, le top chic 30 euros … à deux bien évidemment), la quiétude des temples côtoient les sonos des bars à rock ou à reggae, les écoliers les farangs imbibés. Seule nouveauté : le touriste chinois. Peu d’européens à cette époque de l’année, quelques américains perdus mais surtout des chinois et il est facile de les reconnaitre. Vissés à leur téléphone portable, ils se déplacent par petits groupes de 2/4 sans se parler. Les restos en sont plein, et le spectacle des gens qui mangent en face l’un de l’autre le nez dans le i-bidule est assez hallucinant. La réputation d’impolitesse n’est pas usurpé, les serveurs thaï - pourtant adorables - en sont tout stressés… Il parait même que le gouvernement chinois a publié un livret de bonnes manières (64 pages T_T) à destination des touristes chinois, histoire de redorer un peu son image :/ ...

Ca y est, Ange et La Gerbille sont de retour en itinérance pour quelques jours en Asie et plus particulièrement en Thaïlande. Au revoir le travail quotidien et bonjour à un changement de priorités pour une parenthèse dont nous attendons toujours autant de choses : du repos mais aussi et surtout retrouver nos vraies objectifs, nourrir de nouveau projets, partir à la découverte du monde mais aussi de nous deux. ...

La gerbille et le lézard ont bravé les océans pour retourner découvrir un petit morceau de terre, battu par les vents et au climat on ne peut plus aléatoire… l’île d’Ouessant. Cela fait plusieurs années que nous connaissons une famille d’Ours, qui décide régulièrement de quitter le continent pour profiter du grand air, des nombreuses plages (et leurs eaux très très très vivifiantes) et de la température clémente (de l’air et non de l’eau) pour les oursons. ...

La gerbille arrête un peu de bouger… et oui c’est comme ça elle a posé son sac à dos et ses chaussures de marche pour redevenir une souris des villes et rester un peu tranquille chez elle. Enfin… tranquille… c’est une façon de parler… Je tente de profiter le plus possible de cette belle ville de Paris et ce même si le beau temps n’est pas toujours au rendez-vous. Résultat la gerbille, accompagnée de son lézard adoré, ont déambulé avec leurs appareils photos à la main durant ces dernières semaines (et surtout week-end) dans les rues de la capitale musée. Nous en avons retiré quelques clichés dont certains pourront même être réutilisés dans un nouveau projet photo du lézard photographe. ...

Allez, une petite pause dans les récits néozélandais pour revenir dans notre vieille Europe. Pour une fois, il ne s’agit pas d’un voyage pour travailler ou de vacances à l’autre bout du monde mais d’accompagner mon lézard qui, lui, de fait rencontrer quelques spécialistes locaux (oui il ne faut pas croire, il y a bien des gens qui travaillent en Espagne). Nous étions également en compagnie de son associé et de son amie durant ces 4 jours ensoleillés. nous étions donc deux invitées dans ce voyage dont la teneur initiale était bien professionnelle. ...

Restant tranquillement à Paris durant ces quelques jours fériés du mois de mai, quoi de mieux que de rêver un peu aux grandes étendues néozélandaises et à ses magnifiques sentiers de randonnées. La gerbille vous emmène donc aujourd’hui à la découverte d’une petite partie d’un autre des Great Walks de Nouvelle-Zélande, le Routeburn track. Je ne pense pas vous avoir déjà présenté le principe des Great Walks. La Nouvelle-Zélande est clairement un pays fait pour les amateurs de marche et de randonnée : toutes les régions, voir tous les villages des deux îles regorgent de sentiers de marche qui sont très bien indiqués. En outre, le très actif ministère néozélandais de la conservation a mis en place neuf Great Walks qui sont des sentiers de randonnées, entre 30 et 70 km qui peuvent se suivre de bout en bout en 3 à 5 jours et qui disposent d’équipements de très bonne qualité (refuges parfois high-tech, terrains de camping, sanitaires propres et réguliers…). Ces sentiers ne sont jamais le long de route mais constituent souvent le seul chemin d’accès à certaines zones en dehors de la voie fluviale, maritime ou aérienne. ...

Et oui encore la Nouvelle-Zélande !!! Il va falloir vous y habituer car il me reste encore de belles images à partager. Aujourd’hui je vous emmène entre Akaroa et Queenstown, le long d’une route magnifique, au milieu des champs de Pelennor (pardon je m’égare). Ce fut très long pour une seule journée (je félicite de nouveau mon chauffeur), mais le paysage changeait toute les 10 minutes, du bord de mer le matin, à la zone citadine de Christchurch, puis aux plaines du Rohan et aux lacs Tekapo et Pukaki et enfin, l’arrivée magistrale sur Queenstown. ...

En ce beau dimanche de printemps (enfin le printemps oui), voici quelques souvenirs d’une marche matinale au Parc National d’Abel Tasman, tout au nord ouest de l’île Sud de la Nouvelle-Zélande. C’est donc accompagnée de mon collègue qui était en pleine préparation d’un petit trail de 30km que nous avons arpentés une partie du Great Walk d’Abel Tasman au lever du soleil. Afin de rétablir la vérité des faits… j’ai arpenté doucement 14 km de sentier côtier pendant que monsieur en courait une trentaine. Pour ceux que ça pourrait intéresser, voici le parcours de ma belle marche à pied matinale. ...

Même après plusieurs semaines, je me rends compte à quel point la Nouvelle-Zélande ne m’a pas laissée indiférente. Je me surprends à y penser et surtout à en parler. C’est pourquoi je reprends la plume, pour partager un peu de cette sérénité, ces paysages, ces bons moments. Ce soir, je partagerai donc les souvenirs d’une tranquille traversée entre l’Ile nord de la Nouvelle-Zélande, verte, au relief vallonné, aux villes et à l’essor économique à l’Ile Sud, traversée par des montagnes et des glaciers, des paysages variés et des villes plus petites, parfois même en reconstruction. ...